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Déménager à la retraite : 5 questions à se poser avant de vendre

9 mai 2023

La retraite représente un changement majeur. Revenu, style de vie et état de santé, il est tout à fait normal d’avoir plusieurs interrogations. Et parmi les plus importantes, il y a la suivante : devrais-je demeurer le plus longtemps possible dans ma résidence actuelle ou déménager dans un endroit plus petit? 
En parcourant cet article, vous découvrirez cinq éléments à prendre en considération pour réaliser un choix parfaitement adapté à votre nouveau mode de vie. Quelle que soit votre décision, elle devra idéalement tenir compte de vos besoins, de vos objectifs et de votre budget.

1. Devrais-je déménager dans plus petit?

Si vous vivez dans la propriété où vos enfants ont grandi et qu’ils ont quitté le nid, il est fort probable qu’elle soit désormais trop spacieuse. Et c’est sans considérer les dépenses et l’entretien qu’elle nécessite… Ainsi, vous pourriez envisager de la vendre pour habiter dans un espace mieux adapté. Condo, minimaison, appartement ou maison multigénérationnelle : les options de downsizingsont nombreuses.

Vivre en copropriété

L’une des options les plus populaires auprès des personnes retraitées qui vendent leur maison est d’acquérir un condo. Cette façon de faire permet de demeurer propriétaire – et de générer un capital intéressant au moment de la revente –, tout en diminuant les exigences liées à l’entretien. Néanmoins, les frais de copropriété peuvent parfois être assez élevés, comme le souligne Marc-Étienne Salvail, planificateur financier et conseiller en sécurité financière[1]. Par ailleurs, vivre en copropriété peut impliquer de devoir faire certains compromis que vous n’aviez peut-être pas à réaliser en tant que propriétaire d’une maison unifamiliale. C’est donc un pensez-y-bien!

Opter pour une minimaison

Les minimaisons ont la cote auprès d’un nombre grandissant d’acheteurs. Si vous souhaitez conserver votre liberté tout en diminuant votre espace habitable, cela pourrait représenter une excellente solution. Point bonus : une minimaison sur roues est idéale pour adopter un mode de vie nomade, sans jamais quitter le confort de votre foyer!

Louer un appartement

Vous ne souhaitez plus avoir la responsabilité d’une propriété? Dans ce cas, louer un appartement pourrait sans doute être une option intéressante. Et cela ne signifie pas nécessairement d’opter pour un logement dans une résidence privée pour aînés (RPA). Ainsi, pour choisir le bon type d’appartement, assurez-vous de tenir compte de votre budget mensuel et d’évaluer le prix des loyers. Désormais, plusieurs complexes pour retraités offrent des commodités et des espaces sécuritaires conçus spécialement pour les personnes de 55 ans et plus.

Habiter dans une maison multigénérationnelle

Alors qu’elle gagne en popularité, la maison multigénérationnelle permet d’habiter à proximité des membres de votre famille, sans mettre une croix sur votre autonomie. En plus de partager les responsabilités financières et celles liées à l’entretien, vous réduirez considérablement vos dépenses.

2. Mon revenu est-il suffisant pour assumer les coûts de ma maison?

Au moment de la retraite, beaucoup de personnes voient leur revenu diminuer et doivent compter sur les économies accumulées au fil des ans. Vivre dans une maison unifamiliale peut donc occasionner plusieurs dépenses – parfois imprévues – et engendrer un stress financier important. Évidemment, cette situation est moins critique lorsque l’hypothèque est entièrement remboursée, mais les autres frais, eux, ne disparaissent pas pour autant.

3. Suis-je en mesure de m’occuper de l’entretien?

Si vous preniez plaisir à jardiner ou à tondre votre gazon par le passé, mais que cela est désormais une véritable corvée, c’est sans doute signe que l’entretien de votre propriété est devenu trop exigeant. Comme on dit, mieux vaut prévenir que guérir!

Pour vous aider, la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) offre le Programme d’exonération financière pour les services d’aide domestique qui concerne :

  • La réalisation de tâches ménagères légères (balayage, nettoyage, époussetage, etc.)
  • L’entretien ménager lourd (lavage de vitres, déblaiement de l’entrée principale, râtelage des feuilles, etc.)
  • Le nettoyage des vêtements (lavage et repassage)
  • La préparation des repas (excluant les régimes particuliers)
  • La prise en charge de certaines courses (pharmacie, épicerie, banque, etc.)

Dans cette optique, Marc-Étienne Salvail mentionne qu’il est parfois préférable de conserver sa propriété et d’avoir recours à une aide pour la maintenir en bon état que de la vendre sur-le-champ. Autrement dit, plus vous attendrez pour vendre votre maison, plus celle-ci prendra de la valeur et le solde de votre hypothèque diminuera[2].

4. Vais-je obtenir un bon retour sur investissement au moment de vendre ma maison?

Si votre propriété a bien été entretenue au fil des ans, il y a fort à parier qu’elle a pris de la valeur. « Bien sûr, le marché immobilier connaît des hauts et des bas, mais posséder de la brique, c’est quelque chose de tangible[3] », estime Marc-Étienne Salvail. Votre maison pourrait donc vous procurer un gain en capital intéressant au moment de la vente. Et c’est d’autant plus vrai si l’hypothèque est remboursée en totalité.

5. Quel style de vie aimerais-je avoir à la retraite?

Pour plusieurs, la retraite est synonyme de liberté. Si vous prévoyez de partir en voyage fréquemment ou même de visiter la Floride plusieurs mois par année, alors il n’est peut-être pas nécessaire de conserver un grand espace habitable. Qui sait, un joli appartement en banlieue serait peut-être plus adapté à votre nouveau mode de vie?

Déménager à la retraite est une situation à laquelle presque tous les propriétaires seront confrontés. Si vous êtes en pleine santé et que vous êtes en mesure de réaliser l’ensemble des tâches liées à l’entretien, la question ne se pose pas à court terme. Mais si vous faites face à un événement imprévu, c’est autre chose. Dans tous les cas, un courtier immobilier peut vous aider à planifier la vente ou l’achat d’une propriété dans cette étape importante de votre vie.

 

Sources : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/demenager-a-la-retraite-5-questions-a-se-poser-avant-de-vendre?uc=0

 

Stabilisation de l'activité avec l'arrivée du printemps au Québec

12 avril 2023

Selon les données compilées par l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ), 8 112 transactions ont été enregistrées dans la province de Québec en mars 2023, soit une diminution de 25 %. Les inscriptions en vigueur ont augmenté de 49 % et les nouvelles inscriptions ont diminué de 8 % comparativement à mars 2022.

Du côté du prix médian, la plus forte variation revient aux plex avec une diminution de 6 %. Celui des copropriétés a diminué de 5 % et des unifamiliales de 2 %.

Voici le prix médian d’une propriété unifamiliale dans les 7 RMR en mars 2023, accompagné de la variation par rapport au mois de mars l’année dernière.

  • Montréal : 535 000 $ (-5 %)
  • Gatineau : 420 000 $ (-11 %)
  • Sherbrooke : 365 500 $ (+4 %)
  • Québec : 350 000 $ (+1 %)
  • Drummondville : 331 750 $ (+1 %)
  • Trois-Rivières : 280 500 $ (+4 %)
  • Saguenay : 260 000 $ (+1 %)

Pour consulter les statistiques détaillées, cliquez ici

 

 

Source : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/stabilisation-de-l-activite-avec-l-arrivee-du-printemps-au-quebec?uc=0

Quelles seront les répercussions du REM sur le prix des propriétés?

21 février 2023

Le Réseau express métropolitain (REM) est le plus grand projet de transport collectif à voir le jour au Québec depuis les 50 dernières années. De type métro léger 100 % électrique et automatisé, il comportera 26 stations et parcourra un circuit de 67 kilomètres à travers le Grand Montréal.

Séduits par l’attrait de la mobilité, nombreux seront les futurs acheteurs qui voudront s’établir à proximité de l’une des gares du REM. Mais quelles seront les répercussions de ce réseau de transport collectif sur le prix des propriétés? Parcourez cet article pour découvrir de quoi il en retourne.

1. Peut-on s’attendre à une hausse du prix des propriétés situées à proximité d’une gare du REM?

Le REM n’est pas encore en fonction pour l’instant; néanmoins, les premiers départs entre les stations Brossard et Gare Centrale sont prévus en 2023. Il est donc trop tôt pour évaluer les fluctuations que connaîtra le marché immobilier à proximité des gares.

Néanmoins, plusieurs experts – dont Gérard Beaudet, urbaniste et professeur titulaire à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal – estiment que le prix des résidences près des gares du REM pourrait augmenter, au même titre que celles qui se trouvent à proximité d’une station de métro, par exemple.

2. Quelle est la valeur ajoutée des propriétés avoisinant une station de métro?

Selon une récente étude réalisée par la firme JLR Solutions Foncières, le prix des copropriétés situées à moins de 500 mètres d’une station de métro serait 11,2 % plus élevé que celles qui se trouvent entre 2 et 4,5 kilomètres de cette même station. De plus, les résidences localisées à moins de 2 kilomètres d’une station de métro afficheraient un prix de 2,2 % à 9 % plus élevé que celles se trouvant à une plus grande distance.

Cependant, le plus grand impact observé concerne les copropriétés situées dans un rayon d’un kilomètre d’une station de métro, ce type de propriété étant plus touché que les maisons unifamiliales. Selon les experts, la présence d’un espace de stationnement pourrait expliquer cette différence. Par conséquent, les acheteurs de copropriétés seraient moins susceptibles de posséder un véhicule et seraient plus enclins à utiliser les transports en commun.

Toujours selon l’étude menée par la firme JLR, les propriétés se trouvant à proximité d’une station de métro qui accueillera également une gare du REM pourraient subir d’autres hausses de prix à la suite de l’inauguration de ce nouveau réseau. D'après Roseline Guèvremont, agente immobilière chez Royal LePage, cela pourrait, en partie, expliquer un certain engouement pour diverses régions de Montréal.

3. Quels seront les impacts pour les résidences situées à proximité des rails aériens du REM?

Si la proximité d’une gare du REM peut avoir un effet sur la hausse du prix des propriétés, la situation risque d’être fort différente pour les résidences localisées près des rails aériens. Ainsi, selon Gérard Beaudet, les nouvelles infrastructures entraîneront probablement quelques inconvénients – dont le bruit, la perte d’ensoleillement et la vue entravée – qui pourraient engendrer un effondrement des prix. Cela dit, les promoteurs actifs dans les zones de transformation peuvent déjà tenir compte de la présence du REM pour atténuer ces désagréments, tout en optimisant la valeur des immeubles.

Bien qu’il soit encore trop tôt pour obtenir des données probantes quant aux répercussions du REM sur le prix des propriétés situées à proximité, tout porte à croire que ce réseau de transport collectif changera considérablement le portrait immobilier de la grande région de Montréal. En somme, cette transformation pourrait pousser les futurs acheteurs à acquérir ou à louer une habitation dans des quartiers moins prisés, sachant qu’ils pourront se rendre au centre-ville en seulement 20 minutes où qu’ils se trouvent.

 

SOURCE : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/quelles-seront-les-repercussions-du-rem-sur-le-prix-des-proprietes?uc=0

Comment rembourser votre hypothèque plus rapidement?

8 décembre 2022

Votre situation financière est stable et vous aimeriez rembourser votre prêt hypothécaire plus rapidement? Parcourez cet article pour en découvrir les avantages, ainsi que les différentes façons d’y parvenir sans nuire à votre qualité de vie. 

1.  Pourquoi rembourser votre hypothèque plus rapidement?

En payant votre hypothèque de manière accélérée, vous réduirez la durée de cet emprunt et verserez moins d’intérêts. Résultat? Vous profiterez d’une tranquillité d’esprit inégalée puisque vous aurez remboursé ce qui sera fort probablement la plus grosse dette de votre vie.

Avant d’entreprendre de telles démarches, il est toutefois recommandé d’avoir une situation financière stable. Celle-ci peut inclure un fonds d’urgence équivalent à vos dépenses des trois prochains mois, d’autres formes d’épargne – comme un REER ou un CELI –, ainsi que l’absence de dettes ayant un taux plus élevé[1] . Cependant, le moment n’est peut-être pas parfaitement choisi si vous devez financer les études des enfants ou si vous préparez votre retraite, par exemple.

2. Comment rembourser votre prêt hypothécaire sans pénalités?

Vous acquitter de votre hypothèque de manière accélérée n’implique pas toujours de devoir payer des indemnités. Voici trois façons d’y parvenir facilement!

Accroître le montant des paiements

Si vous avez la possibilité d’augmenter le montant de vos versements réguliers sans mettre votre situation financière en péril, allez-y! Cette façon de faire vous permettra de rembourser une plus grande partie du capital, d’économiser sur les intérêts et de diminuer la durée de votre emprunt[2] . Toutefois, votre contrat d’hypothèque peut comprendre certaines conditions; veillez donc à bien vous informer afin d’éviter les pénalités. De plus, sachez que si vous augmentez vos paiements, vous ne pourrez fort probablement pas les réduire avant la fin du terme de votre prêt[3].

Accélérer la fréquence des paiements

Vous pouvez aussi modifier la fréquence de vos paiements. À titre d’exemple, vous pourriez passer d’un remboursement de 1 000 $ par mois à un versement de 500 $ aux deux semaines ou encore à un paiement hebdomadaire de 250 $. Cette façon de faire augmentera la somme remboursée annuellement, ce qui diminuera la durée de votre emprunt, tout en vous faisant économiser sur le montant des intérêts. En choisissant cette option, vous pourriez faire jusqu’à l’équivalent d’un paiement mensuel de plus par année[4] .

Faire des paiements anticipés

Un paiement anticipé est une somme que vous donnez de manière spontanée, en plus de vos versements réguliers, pour diminuer votre prêt. Il peut s’agir d’un remboursement d’impôt, d’un boni de performance ou encore d’un héritage inattendu, par exemple. La plupart des institutions financières autorisent des versements additionnels qui oscillent entre 10 % et 25 % de la valeur du capital[5] . Au-delà de ce montant – ou selon d’autres conditions – vous pourriez avoir à payer des frais de pénalité. La somme maximale est indiquée dans votre contrat, incluant les moments auxquels vous pouvez les faire : avant la fin du terme, à échéance, à des dates précises pendant le terme ou à certaines autres périodes indiquées dans l’entente[6].

3. Qu’est-ce qu’un prêt hypothécaire ouvert?

Contrairement à une hypothèque fermée, une hypothèque ouverte permet de rembourser en totalité ou en partie votre emprunt, en tout temps et sans aucune pénalité[7] . Toutefois, cette dernière comporte habituellement des taux d’intérêt plus élevés, ce qui pourrait jouer en votre défaveur. Cette option peut néanmoins s’avérer profitable si vous pensez vendre votre propriété avant l’échéance du prêt ou que vous croyez pouvoir effectuer plusieurs versements importants assez rapidement.

4. Est-il avantageux d’obtenir une quittance lorsque l’hypothèque est payée en totalité?

Une fois votre prêt hypothécaire entièrement remboursé, vous pouvez demander une quittance. Celle-ci ne représente pas votre emprunt, mais plutôt une entente selon laquelle votre propriété est déposée en garantie pour le prêt.

Si vous souhaitez obtenir une quittance, vous devrez payer certains frais. Par ailleurs, vous ne pourrez pas conserver la marge de crédit associée à votre emprunt. C’est donc un pensez-y-bien si vous prévoyez de réaliser quelques rénovations nécessitant des liquidités à court terme.

5. Qu’est-ce que l’assurance hypothèque?

Une assurance hypothèque vous permettra de couvrir vos paiements si vous êtes blessé, gravement malade ou si l’un des conjoints décède subitement. Habituellement, ce genre de protection combine deux types d'assurances : l’assurance vie temporaire et l’assurance pour maladies graves. Renseignez-vous auprès de votre courtier hypothécaire pour obtenir plus de détails relatifs à cette option.

L’achat d’un bien immobilier est sans doute l’un des plus importants de toute une vie. Rembourser votre hypothèque plus rapidement vous permettra de vous libérer d’une charge financière considérable pour vous consacrer à ce qui compte vraiment : passer du temps de qualité en famille, explorer le monde ou développer de nouvelles passions. Pour y arriver plus facilement, consultez un courtier hypothécaire ou un conseiller financier qui vous donnera les conseils les mieux adaptés à votre situation.

Source : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/comment-rembourser-votre-hypotheque-plus-rapidement?uc=0

Hausse des taux d’intérêt : comment s’y adapter?

16 novembre 2022

Malgré la présence de signes annonciateurs d’une récession économique, le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem, croit que de nouvelles hausses de taux d’intérêt seront nécessaires pour diminuer l’inflation. Mais quelles seront les répercussions sur votre façon d’épargner et d’emprunter? Parcourez cet article pour découvrir l’incidence de cette augmentation sur le coût de la vie et sur votre budget.

1. Pourquoi l’inflation est-elle forte?

Selon le portrait actuel de l’économie canadienne, la demande dépasse largement l’offre. Cette situation, combinée à certains événements mondiaux tels que la pandémie de COVID-19 et l’invasion russe en Ukraine, expliquerait partiellement la forte inflation. À titre indicatif, celle-ci a atteint 8,1 % en juin pour redescendre à 7,0 % en août dernier[1] .

Par ailleurs, selon Tiff Macklem, la demande refoulée envers certains secteurs durant la pandémie, comme ceux des voyages, des loisirs et de la restauration, aurait contribué à faire grimper les prix lors de la réouverture complète de l’économie[2] .

2. Le Canada entre-t-il dans une période récession?

Ralentie par la hausse des taux d’intérêt, l’économie canadienne pourrait entrer dans une période de récession légère ou modérée. Si c’est le cas, l’objectif de la Banque du Canada sera de rétablir une inflation faible et stable, sans déclencher un ralentissement économique trop sérieux[3] .

3. Fait-on face à une hausse historique?

Depuis mars 2022, la Banque du Canada a revu son taux directeur à cinq reprises, le faisant passer de 0,25 % à 3,25 %, soit l’un des cycles les plus rapides de son histoire[4] . La situation pourrait toutefois perdurer en raison des marchés de travail tendus, d’une économie où la demande dépasse encore l’offre et de l’inflation qui demeure élevée.

4. Quel est l’impact potentiel sur votre portefeuille?

Craignant que l’inflation s’enracine, la Banque du Canada surveillera également les attentes des particuliers et des entreprises. Dans le cas où celles-ci seraient importantes, les compagnies pourraient fixer des prix encore plus hauts et les travailleurs exiger des salaires plus élevés[5] . Conséquemment, une forte inflation créerait de l’incertitude et des inégalités, en plus de fausser la prise de décision en ayant un impact direct sur la confiance. À cet égard, la hausse des taux d’intérêt a déjà eu des répercussions sur le marché immobilier qui s’est considérablement refroidi.

5. Que signifie une hausse des taux d’intérêt pour les propriétaires?

Confrontés à une hausse des taux d’intérêt, les consommateurs n’auront d’autres choix que de revoir la manière dont ils dépensent et épargnent leur argent, mais également la façon dont ils empruntent. En tant que propriétaire – ou que futur propriétaire – cette augmentation a une incidence directe sur un prêt hypothécaire ou sur une marge de crédit, mais surtout, sur la capacité à rembourser un emprunt[6] .

Pour les propriétaires ayant une hypothèque à taux variable, cette hausse se fera sentir plus rapidement puisque le montant de leurs versements augmentera au même rythme que le taux d’intérêt. À l’inverse, ceux ayant une hypothèque à taux fixe en subiront uniquement les contrecoups lors de leur renouvellement.

6. Comment bien gérer son budget?

Vous souhaitez minimiser les impacts de l’inflation sur votre portefeuille? Voici quelques mesures qui vous permettront d’y arriver plus facilement[7]  :

  • Révisez votre budget afin de l’adapter aux nouveaux prix.
  • Remboursez d’abord vos dettes ayant un taux d’intérêt élevé comme les cartes de crédit.
  • Surveillez vos prêts à taux variable.
  • Revoyez vos stratégies de placement en fonction du rendement offert.

Inflation, taux d’intérêt, hausse de prix : l’économie est soumise à de nombreux cycles qui rythment la vie des consommateurs et des entreprises. Même si la situation peut parfois sembler complexe ou retarder l’achat d’une première propriété, il n’en demeure pas moins qu’elle est éphémère. Notre meilleur conseil pour y faire face en toute confiance : gardez l’œil ouvert pour bien comprendre l’évolution des événements.

Source : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/hausse-des-taux-d-interet-comment-s-y-adapter?uc=1

3 signes indiquant que vous devez remplacer votre toiture

1 septembre 2022

Le remplacement d’une toiture est très dispendieux, alors comment savoir s’il est temps d’investir? L’important est de surveiller les indices concernant ce qui se passe au-dessus de vous. Restez à l’affût en vous rappelant ces trois signes indiquant que vous devez remplacer votre toiture.

1. Fuites

Une fuite peut indiquer qu’il y a un problème avec votre toit. Il est donc important de vérifier la présence de fuites dans le cadre de votre entretien saisonnier. Il est généralement recommandé d’inspecter visuellement la toiture au moins deux fois par année, soit avant les premiers grands froids et au retour du printemps.

Assurez-vous d’inspecter le toit de l’extérieur, mais également depuis le grenier. Utilisez une lampe de poche lorsque vous montez sous les avant-toits et regardez si des faisceaux lumineux traversent le haut de la maison ou si vous voyez des taches et des stries, qui peuvent être des signes de dommages causés par l’eau.

Vous devriez également vérifier la présence :

  • d’odeurs d’humidité;
  • d’un affaissement au niveau de la structure du toit;
  • de taches ou de moisissure apparente;
  • de matériaux isolants qui semblent être en mauvais état.

Si vous détectez un problème, réglez-le dès que possible. Privilégiez l’élimination des fuites, car les dommages causés par l’humidité peuvent avoir des effets dévastateurs sur la structure d’une maison et causer des problèmes à long terme, comme la moisissure.

2. Signes d’usure

Il est important de toujours être à l’affût des signes de détérioration de votre toiture. Ces signes varient selon le type de matériau de couverture que vous avez utilisé, mais il est généralement recommandé de vérifier régulièrement les éléments suivants :

  • bardeaux manquants, fissurés ou usés;
  • bords de bardeaux qui se redressent;
  • zones sombres sur les bardeaux où il y a eu perte de granules;
  • changement de couleur de la toiture;
  • mousse ou champignons;
  • noues rouillées;
  • dommages causés par le déneigement.

3. Les voisins remplacent leur toiture

Les maisons qui sont près l’une de l’autre et qui ont été construites pendant la même période subissent les mêmes conditions météorologiques, de sorte qu’elles ont tendance à nécessiter des niveaux d’entretien semblables.

Par conséquent, si plusieurs autres propriétaires de votre secteur remplacent la toiture de leur maison, cela pourrait certainement indiquer que la vôtre approche de la fin de sa durée de vie utile.

Ai-je besoin d’une nouvelle toiture?

De nombreuses toitures sont garanties pour une période de 10 à 20 ans, parfois même 30 ans. Toutefois, les facteurs environnementaux peuvent avoir une grande influence sur cette garantie. C’est pourquoi il est important de cerner les signes avant-coureurs indiquant une détérioration de votre toiture, peu importe son âge. Plus une toiture vieillit,plus nous devons rester à l’affût de ces signes, et nous rappeler qu’il vous faudra toujours la remplacer éventuellement.

Le moment où vous la remplacez vous appartient, mais n’oubliez pas que le fait d’attendre trop longtemps avant d’investir dans une nouvelle toiture peut entraîner d’autres problèmes qui affecteront la structure de votre maison. Il est donc préférable de remplacer votre toiture avant d’être aux prises avec des problèmes majeurs.

 

Source : https://www.centris.ca/fr/blogue/astuces-et-deco/3-signes-indiquant-que-vous-devez-remplacer-votre-toiture?uc=0

Marché immobilier: ralentissement prononcé à Montréal; toujours robuste à Québec

10 août 2022

La tendance qui a commencé à se dessiner au cours des derniers mois dans le marché immobilier de la province s’est maintenue pour le mois de juillet, avec un repli qui s’est confirmé à Montréal et un marché toujours robuste à Québec.

Dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, 3080 transactions résidentielles ont été enregistrées en juillet, soit une baisse de 18% par rapport au même mois de l’année 2021.

«En continuité de ce qui avait été enregistré en juin, le changement de la dynamique du marché est clairement confirmé. L’ampleur de la hausse des taux d’intérêt, en seulement quatre mois, a accéléré le ralentissement du marché, quoique de façon beaucoup plus progressive que dans d’autres grandes villes canadiennes», a noté Charles Brant, directeur du service de l’analyse de marché de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).

«La conséquence directe est la baisse de la proportion des ventes conclues à la suite d’un processus de surenchère et le début d’un repli des prix, à l’exception des plex, si on en analyse l’évolution au cours des deux derniers mois», a-t-il ajouté.

Si le secteur de la Rive-Nord de la métropole a connu une hausse de 3% des ventes résidentielles, celui de la Rive-Sud a toutefois baissé de 12%.

Des ralentissements beaucoup plus importants ont aussi été répertoriés dans Vaudreuil-Soulanges (-20%), l’île de Montréal et Laval (-29%) et Saint-Jean-sur-Richelieu (-20%).

Les plex et les copropriétés ont été moins prisés des acheteurs avec des reculs respectifs de 38% et 20% par rapport à juillet 2021. Les unifamiliales ont pour leur part affiché un recul avec moins d’ampleur (-12 %).

Et si le prix médian des unifamiliales a affiché une hausse de 10% en comparaison de l’année passée en atteignant 550 000 $, il a tout de même baissé de 30 000 $ par rapport au pic d’avril 2022.

Une première chute de prix pour l’année a aussi été observée dans le prix médian des copropriétés à 391 500 $. Le prix médian des plex connaît une stabilité depuis plusieurs mois avec 776 000 $.

Des ventes encore en hausse à Québec

«Le marché de la région métropolitaine de Québec fait partie des rares marchés de la province et du pays à enregistrer une hausse des ventes par rapport à l’année dernière à la même période. Toutefois, cette activité s’explique en partie par l’absorption d’un inventaire de propriétés unifamiliales en augmentation sur le marché pour cette période de l’année, et par rapport au mois de juin pour la première fois depuis 2017, dans les deux cas de figure», a observé M. Brant.

«Même si cette hausse devra être confirmée en août et septembre pour parler de tendance, il s’agit d’un indice précurseur au ralentissement du marché et à une croissance beaucoup plus faible des prix ou de leur stabilisation au cours des prochains mois», a-t-il précisé.

Un total de 544 transactions résidentielles ont été enregistrées dans la RMR de Québec, soit un gain de 1% par rapport à juillet 2021.

L’agglomération de Québec et la périphérie nord ont respectivement fait part d’une hausse de 4% et de 12% de leurs ventes, contre un recul de 16% constaté pour la Rive-Sud.

Les ventes des petites propriétés ont crû de 5% comparativement au même mois de l’an passé, quand les unifamiliales ont progressé de 7%. Les copropriétés ont diminué de 11%.

Le prix médian des unifamiliales est resté stable depuis le printemps (350 000 $), alors que le prix médian des copropriétés s’est établi à 235 000 $ (+11%) et les petites propriétés à 383 000 $ (+16%).

 

Source : https://www.journaldemontreal.com/2022/08/04/marche-immobilier-ralentissement-prononce-a-montreal--toujours-robuste-a-quebec

Hausse du taux directeur: le parc immobilier commence à ralentir

15 juillet 2022

Les hausses du taux directeur commencent à stabiliser le parc immobilier, au moment où les acheteurs sont de plus en plus prudents avant d’acheter une maison.

«Quand les taux d’intérêt montent, le coût de financement augmente. Je vous dirais qu’une partie était déjà anticipée, mais c’est une surprise aujourd’hui avec l’augmentation du taux directeur de 1 %», a mentionné le courtier immobilier de Royal LePage, Marc Lefrançois.

Le ralentissement du marché, marqué par la hausse de l’inflation, du taux directeur, mais aussi de la saison estivale, favorise les propriétés dont le coût se rapproche des 300 000 $.

La surenchère est encore présente pour les maisons considérées «abordables», entre 150 000 à 250 000 $.

Le nombre d’inscriptions sur le parc immobilier a augmenté, alors que les demandes ont diminué.

À Rimouski, les ventes ont baissé de 26 % comparativement à l’année dernière, alors que le prix médian des maisons continue son ascension fulgurante. En 2019, le prix était de 195 000 $. En 2021, il a grimpé à 264 000 $ pour terminer à 305 000 $.

Les prix constamment à la hausse causent beaucoup de problèmes, notamment pour les premiers acheteurs.

La Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) s’attend à une baisse du prix des maisons de 5 % en 2023, si la demande continue sa descente.

«Tant que l’offre ne sera pas supérieure, le problème ne sera pas réglé. Ça ne sera pas suffisant au retour des vacances», a ajouté un autre courtier, Mélanie Bergeron.

 

Source : https://www.tvanouvelles.ca/2022/07/13/hausse-du-taux-directeur-le-parc-immobilier-commence-a-ralentir

 

Rappelons que le taux directeur a atteint 2,5% mercredi.

Pourquoi déménage-t-on le 1er juillet?

20 juin 2022

Au Québec, plusieurs déménagements ont lieu le 1er juillet, ce qui en fait désormais une véritable tradition. Pourtant, cette migration annuelle n’a lieu nulle part ailleurs au Canada. Pourquoi? Parcourez cet article pour découvrir les raisons de ce phénomène social.

1. L’histoire des déménagements à date fixe

Les déménagements à date fixe ont longtemps fait partie du paysage québécois. Si l’on remonte dans le temps, on constate que cette tradition existait déjà avant la guerre, alors que le Québec faisait face à une importante pénurie de logements. Dans ce contexte, et afin de protéger les locataires contre les évictions hivernales, l’Église catholique aurait fait pression pour interdire les déménagements avant le mois de mai.

Ainsi, jusqu’au début des années 1970, les baux locatifs expiraient le 30 avril et les ménages quittaient leur logement le 1er mai. Toutefois, le gouvernement du Québec a voté, en 1974, une loi décrétant que les baux devaient prendre fin le 30 juin afin d’éviter les perturbations liées à la fin de l’année scolaire : de quoi éviter des maux de tête à bien des parents!

En simplifiant la situation pour bien des gens, la tradition s’est ainsi ancrée dans l’univers québécois. Néanmoins, encore de nos jours, la fin d’un bail demeure à la discrétion du propriétaire de l’immeuble et du locataire, et est généralement fixée d’un commun accord.

2. Le 1er juillet : une date particulièrement active au Québec

Aujourd’hui, près d’un déménagement sur cinq se déroule durant les semaines qui entourent le 1er juillet : un mouvement qui occasionne d’ailleurs une hausse des coûts associés au transport et à la main-d’œuvre.

Néanmoins, force est de constater que le marché immobilier est particulièrement actif au printemps et qu’un plus grand nombre de propriétés y sont à vendre. Selon une étude parue dans Les Affaires, il y a quelques années, le printemps et l’été seraient les meilleures saisons pour les vendeurs qui souhaitent obtenir un bon prix lors de la vente de leur propriété.

Outre la tradition du 1er juillet, voici quelques raisons qui expliquent cet engouement :

  • Il est plus facile de mettre sa propriété en valeur durant les saisons printanière et estivale en effectuant certaines réparations extérieures et en valorisant l’aménagement paysager.
  • Plusieurs familles ayant des enfants d’âge scolaire y voient un avantage important en raison de la fin de l’année scolaire imminente et des vacances estivales.
  • Il est plus agréable de déménager lorsque la température est clémente.

En somme, un plus grand nombre de propriétés sont à vendre durant cette période : c’est la saison idéale pour tout acheteur qui souhaite avoir l’embarras du choix en profitant d’une offre accrue.

Que vous souhaitiez vendre ou acheter une propriété, la saison précédant le 1er juillet demeure particulièrement active au Québec. Et comme le marché immobilier évolue rapidement, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un courtier immobilier en qui vous avez confiance. Celui-ci pourra vous aider à tirer profit des variations saisonnières de prix, tout en respectant votre situation personnelle. De quoi vous faire dire « Home Sweet Home » plus vite que vous ne le croyez!

 

Source : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/pourquoi-demenage-t-on-le-1er-juillet?uc=0

 

Portrait d’un leader en immobilier

11 mai 2022

Par Sophie Poirier | Rédactrice

https://bit.ly/3supyJB

Encore sous la barre des trente ans et à la tête d’une entreprise florissante, Simon-Pierre Poirier assure quotidiennement l’excellente gestion de son agence immobilière indépendante Pro Immobilier & Hypothèque. Très généreux de son temps et de sa personne, il a gentiment accepté de se mettre à nu (pas littéralement les filles !) et de m’accorder une entrevue dans laquelle nous avons abordé les étapes de sa vie professionnelle ainsi que les rouages de son entreprise. 

Lors de son choix de carrière, Simon-Pierre ne s’est pas immédiatement précipité dans le domaine de l’immobilier. En effet, il a d’abord fait son entrée dans le monde du travail en construction. Vêtu d’une combinaison de plombier, il passait de nombreuses heures en tête à tête avec ses tuyaux. Un an plus tard, en manque de chaleur humaine et de relations sociales, il troqua sa clé à molette contre une jolie mallette de courtier immobilier. Motivé à suivre les traces de son père, qui avait lui-même été dans ce secteur d’activité toute sa vie, Simon-Pierre se découvrit un véritable talent pour la vente : « J'ai commencé comme vendeur de cellulaires. J'aimais vraiment ça, mais il me manquait quelque chose. J'avais besoin de plus de défis, alors j'ai décidé de m'investir dans le domaine de l'immobilier et après environ un an et demi d'étude j'avais mon diplôme de courtier immobilier en poche.» Passionné par son nouveau domaine, il gravit un à un les échelons en travaillant comme courtier immobilier pendant près de 3 ans. À la suite de quoi, il put retourner sur les bancs d'école du collège de l'immobilier du Québec afin d'obtenir le titre de dirigeant chez Pro Immobilier & Hypothèque. 

Aujourd’hui, le rôle de ce dirigeant d’agence prospère est, entre autres choses, de soutenir et de guider les courtiers membres de son agence dans leurs transactions, de leur offrir des formations continues pertinentes, de s’assurer du bon fonctionnement de l’agence ainsi que de recruter de nouveaux membres quotidiennement. Ce mandat lui demande également de prendre en charge une quantité phénoménale de transactions immobilières annuellement et de les examiner afin qu'elles soient conformes aux exigences. En d'autres mots, Simon-Pierre a fait le choix conscient de consacrer tout son temps à ses courtiers : « Je suis conscient du manque de temps que j'ai pour mon courtage immobilier personnel, mais c'est le prix à payer, selon moi, pour être un bon directeur d'agence. Je trouve important d'être 100% disponible pour mes courtiers afin de leur offrir le meilleur service possible ». 

Le succès de son entreprise est sans contredit le résultat d’une écoute active envers ses membres. Simon-Pierre met un point d’honneur à prendre en considération les demandes, les avis ou les projets qu’on lui soumet. Animé par ces idées, ce dernier ose innover en proposant des services au goût du jour. Il promet notamment des frais minimes aux courtiers, contrairement à plusieurs bannières franchisées, tout en continuant d’offrir un excellent service à valeur ajoutée. D'ailleurs, Simon-Pierre n'est jamais en manque de ressources quand vient le temps de faire de la publicité. Mis à part le bouche à oreilles ainsi que les méthodes plus traditionnelles, ce dernier fait connaître son agence majoritairement sur les réseaux sociaux. Débrouillard et créatif, il utilise entre autres les plateformes de FacebookInstagram et TikTok pour partager du contenu accrocheur qui fait réagir. Ceci étant dit, les avantages de faire partie d’une agence immobilière indépendante comme celle de Pro Immobilier & Hypothèque sont multiples. Pensons aux valeurs de démocratie, d’écoute, d’empathie et de soutien, mais surtout pensons à la disponibilité d’un directeur humain ainsi qu’à l’efficacité d’une équipe motivée à offrir le meilleur service. 

En fin d'entrevue, Simon-Pierre m'a confié que la profession de courtier immobilier est, à son avis, le plus beau, mais non le plus aisé à pratiquer : « selon les statistiques, 50% des courtiers immobiliers vont abandonner le métier dans les 5 ans suivant l'obtention de leur diplôme [...] ». Il poursuit en insistant sur le fait que c'est un domaine qui demande énormément de rigueur, de motivation et de patience puisque la rémunération peut se faire attendre. Effectivement, entre la prospection, l'entente avec un client, la recherche de propriétés, ainsi que la vente finale chez le notaire, il peut y avoir un délai de plus ou moins 6 mois avant de pouvoir toucher sa rétribution. Le courtage immobilier est une activité qui peut être très alléchante lorsqu'on conscientise le potentiel que peut avoir une vente sur notre porte-monnaie, mais encore faut-il avoir la passion et, j'oserais même ajouter, avoir la personnalité d'un bon vendeur.